Le vernissage a eu lieu le 9 mars, devant plusieurs élèves du Cégep qui ont beaucoup apprécié le travail de Mme Charland et qui avaient beaucoup de questions à poser sur ses œuvres.
L'artiste a expliqué qu'elle peignait depuis 17 ans maintenant. Étant passée de la fleuristerie à l'aquarelle, elle se lance désormais des défis avec ce médium qu'elle a appris à maîtriser (autant que faire se peut). D'ailleurs avec son très grand tableau, «Les oies de chez-nous», elle est allée au-delà de ses limites. Elle est parvenue à réaliser cette toile qui représente bien le paysage victoriavillois.
«Ce que j'aime, c'est le feeling de l'aquarelle, les surprises qu'elle réserve», a-t-elle expliqué aux élèves lors du vernissage.
En plus des oies lors de différentes saisons, Hélène Charland expose ses marguerites mais il s'agit, pour tous les tableaux, de travail très récent. «Mes toiles préférées sont celles où on sent la lumière», a-t-elle avoué.
Hélène Charland est membre de la Société canadienne de l'aquarelle et tente d'aller toujours plus loin dans son cheminement artistique. Son travail a atteint une belle maturité et l'année qui commence sera remplie d'activités et de rendez-vous artistiques. Parmi eux, il y a l'activité «Victo et ses oies, une envolée artistique» qu'elle organise pour mettre en lumière cet attrait que représentent les oies dans la municipalité.