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Caroline Bruens
Cofondatrice et Présidente directrice générale de l'Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec – Expert-conseil en marché de l'art
L’Âme d’une Académie, par Louis Bruens
Qui donc est-elle ?
Née à Montréal en 1950, c'est une enfant précoce de trois ans qui participe à son tout premier récital de diction au studio de Liette Duhamel, à Montréal. L'enfant, l'adolescente et la jeune adulte fréquentent quotidiennement le monde du théâtre (Elle accompagnait sa mère (1922-2018) doyenne des habilleuses pendant de longues années, dans les différents théâtres de la métropole.) Immergée de ce fait, dans un monde artistique, elle rencontre quotidiennement à la Comédie canadienne, les Piaf, Brel, Bécaud, Brassens, Aznavour, Cordy, les Trois Ménestrels et la relève montante des chanteurs québécois et assiste à toutes les représentations. Les comédiens tels les Gélinas, Pelletier (Denise et Gilles), Sutto, Lachapelle, Graton, Dussault, Leblanc, Fruitier, Duceppe, Lepage (Ginette, Gaston et Robert) et tant d’autres ont eux aussi laissé des traces indélébiles dans son inconscient. Un monde imaginaire et réel où tant de talents peuplent son imagination et influencent sa vision du futur. Elle est partout où se tiennent les récitals, les pièces de théâtre, elle est là où se construisent les décors, où se tiennent les répétitions, elle est tapie dans les coulisses, les loges et les salons. Le Jésus du Gesù, le d'Artagnan de la Comédie Canadienne, le rêve et la réalité… distinguer le vrai du faux.
La préadolescente est tour à tour ouvreuse, placière, vendeuse de programmes, chargée du vestiaire, etc. C’est à son insu que la culture et les arts prennent déjà place dans ses pensées pour laisser de profondes marques, car elle est encore si jeune. Elle absorbe comme une éponge tout ce que lui transmettent ces mentors ambulants qui, grâce à ces tournées, avaient le temps de lui parler de musique, de peinture…et de théâtre bien sûr. Ils lui ont transmis le goût de voir, elle aussi, ces fabuleux musées français, les salles de spectacles Bobino, l’Olympia, etc. C’est vraiment très jeune, dans les coulisses et les loges qu’elle a compris qu’une médaille a toujours deux côtés, que la fragilité des êtres est un secret assez bien gardé. Ses amis, ses études, et sa passion pour les chevaux transmise intergénérationnellement de sa grand-mère maternelle à son oncle, puis grâce à son père qui la conduisait les weekends à des cours d’équitation à Bromont, à St-Bruno et à l’Estérel, tout cela la rattache encore à un autre univers. Impliquée très jeune dans l’action sociale caritative, son parcours et son comportement, quel que soit le domaine dans lequel elle évolue, en sera imprégné tout au long de sa vie. L’adulte athée conserve ce fond d’éducation judéo-chrétien acquis chez les bonnes sœurs. Généreuse de sa personne et de son temps, elle n’hésitera jamais à apporter de l’aide à son entourage, et souvent même à de purs étrangers, sans demander quoi que ce soit en retour.
Après avoir terminé ses études collégiales précocement on la trouve au Centre d’Art commercial, puis à Radio-Canada et au CIR (Centre International de RadioTélévision) à l’Expo 67’. Malgré un refus de la SRC de lui accorder un congé sans solde, car elle voulait absolument s'impliquer à temps plein dans la campagne électorale du Parti Québécois, elle quitte sans regret, sans jeter un simple coup en arrière, pour recommencer au bas de l’échelle… à rayer les morts de la liste électorale du comté de Maisonneuve, comté où elle deviendra secrétaire du député Robert Burns, en mai 70'. Malgré sa jeunesse, elle accumule des expériences en édition de livre, appliquant les nouvelles méthodes acquises chez IBM. À cette époque, elle avait dix-neuf ans, quand les Éditions Métro lui donnèrent l’autorisation de traduire, de saisir et de corriger, puis d’imprimer les « prêts à photos » en utilisant les équipements que la maison d’édition avait installés à son domicile. C’était déjà une pionnière.
Vingt et un ans…Changement à 360 degrés. C’est l'amour qui amène cette citadine dans un milieu totalement rural où huit chevaux hennissent dans une écurie bancale. Le rêve quoi!
1981 : Un très grave accident l'oblige à réviser radicalement son orientation. Elle obtient sa licence de courtier en fonds d'investissement et en planification financière du Centre national de Courtage financier. Un peu plus tard, elle utilisera ses connaissances en finance à des fins complémentaires.
Ses capacités multidisciplinaires, sa débrouillardise, son talent d'organisatrice et de communicatrice lui offrent un vaste champ d’application. L'univers des chevaux, de l'hôtellerie, de l'immobilier et de la construction lui servent de terrains d’expériences; son talent est grand et le terreau fertile, elle adore ce monde où tout est permis, où on peut rêver et réaliser ses rêves, des rêves, ce n’est pas ça qui lui manquent. Elle donne des cours d’équitation, organise des courses de chevaux, des Gymkhana, des rodéos, un festival, des parades où elle et sa mère déguisent la moitié de la population locale. L’entreprise familiale compte désormais des installations équestres d’une trentaine de chevaux, un bar-salon et une salle à manger, les écuries s’agrandissant d’année en année, le tout construit de leurs propres mains.
Ses acquisitions immobilières sont couronnées de succès et la construction de la maison de ses parents et de sa résidence principale occupe tout le temps du trio composé de son mari et de son beau-frère. Elle continuait donc à cumuler plusieurs métiers et aucune tâche ne la rebutait. C’est une leader née et la fille unique y trouve son compte, entourée qu’elle est d’une famille de douze enfants. Elle se sent, et s’est toujours sentie, pourtant partagée entre la ville et la campagne.
Un grave accident vient changer la donne en l’immobilisant pour de longs mois pendant lesquels parents et amis lui offrent, pour la distraire, bonbons, chocolats, mets fins accompagnés de toutes les collections de livres d’art possibles et imaginables et la lectrice incorrigible qu’elle est depuis toujours, se plonge avec ravissement dans l’univers des arts visuels qu’elle approfondit. Cet accident ne l’a pas laissée se pencher à pleurer sur son sort, mais au contraire à utiliser cette longue période d’immobilisation forcée à approfondir une nouvelle passion, cette passion qui ne la quittera plus jamais : les arts visuels.
1983 - elle se consacre à l'étude de la peinture, à l'écriture, l'organisation d'expositions de peintres, elle expérimente l'ouverture et l'opération d'une galerie d'art.
Cette période de réflexion a pour effet de la rapatrier, en 1983, de Mont-Laurier à Montréal.
Septembre 84 : Un choc culturel, enfin la vraie révélation, et c'est tour à tour en Belgique, en France, en Allemagne, en Suisse et en Italie, en compagnie de sa chère maman Laura, qu'elle se laisse envahir par une vibration artistique qui ne se démentira vraiment plus au fil des ans. La peinture, les arts… C'est d'ailleurs un historien suisse qui, par sa passion pour l’histoire, lui ouvre des horizons livresques jusqu'à ce jour. Mais cette fille de terrain a besoin de toucher… de sentir… de voir et d'éprouver.
Considérant qu’une formation en administration et en marketing lui est indispensable, mettant une fois de plus à profit ses expériences d’édition, elle poursuit quand même une formation en planification financière, obtient une licence en fonds d’investissement et travaille comme courtière au Centre national de Courtage financier, à Montréal. Diplômée de l’Institut des fonds d’investissement du Canada en décembre 1985.
Elle se passionne cependant davantage pour le volet informatique qui en est à ses débuts. Elle consacre de nombreuses heures à la réalisation des présentations professionnelles des tableaux financiers comparatifs (pour et entre différents produits et entreprises), ce qui, au tout début de l’informatique, relevait une fois encore du véritable défi et c’est son côté créatif naturel qui prend le dessus plutôt que l’aspect réel de son « nouveau métier en finance ». Habitée par les arts depuis son enfance, elle ne peut se résoudre à quitter son monde et avec ses acquis en administration, elle dirige durant les mois d’été une galerie d’art en Charlevoix, berceau reconnu de la peinture québécoise durant la saison touristique; elle organise une exposition et opte pour les arts visuels, seul domaine qui la satisfasse et qui réussit à toucher à tous ses domaines de prédilections.
C'est en 1988, j'en étais à la 3e édition de mon ouvrage « Investir dans les Oeuvres d'art » et j'avais un impérieux besoin d'aide. Caroline m’a proposé son soutien et ce fut une première collaboration très profitable. Nos expériences communes se chevauchant à des époques différentes nous ont permis d'éditer « Investir dans les Oeuvres d'art # 3 ». Ce fut le début d'une collaboration soutenue, d'un partenariat des plus favorables et qui dure toujours.
Elle a fait auprès de moi (Université catholique de Louvain) des études à titre de « compagnon » comme l'avaient fait avant elle, en Europe, bien d'autres peintres, écrivains, et amoureux des arts depuis des siècles. J'ai perçu très rapidement le potentiel et la rare intelligence de Caroline. L'exercice de la profession d'expert en marché d'art ne s'apprenant pas par des études théoriques, mais plutôt par la pratique quotidienne disciplinée durant de longues années. Que ce soit comme collaboratrice d'édition de livres, de monteuse de films, d'assistante à l'expertise photographique, ou encore comme responsable de l'organisation d'événements (lancement de peintres, ouverture de galeries d'art, publicité et marketing), rien n’a été laissé dans l'ombre. Sa formation fut longue et complète. Elle continue, encore aujourd’hui, son autoformation.
Dix ans plus tard, en 1999, je lui ai remis, avec une grande fierté partagée d'ailleurs, un sceau d'expert-conseil en marché d'art notarié. Après avoir complété 10 ans d'apprentissage, de pratique et de réalisations dans ce domaine je lui remis l'équivalent d'une maîtrise accompagnée de ma chaleureuse recommandation.
Elle s'implique à fond dans un nouveau défi et participe à toutes les étapes de la réalisation d'un long métrage " Faut être fou pour peindre dehors, des Productions Louis Bruens inc. sur la vie quotidienne des peintres. Ce film a été diffusé chaque année à Radio Canada, de 1990 à 1995. Mon 15e ouvrage voit le jour en novembre 1995 (toujours en étroite collaboration), il s'agit d'un livre qui porte pour titre : « Les Secrets du marché de la peinture ». De cette collaboration constante est née une harmonie de pensées et de sentiments uniques.
Au fil du temps, elle continue sa formation en informatique, une formation constante qui ne peut se dissocier de la philosophie de vie de Caroline, et qui l'a accompagnée tout au long de sa vie adulte. Mettant à profit ses études en finance, elle s'intéresse toujours davantage au marché du tableau. Elle désire aider les peintres, ses amis, sa famille, car ça aussi, c'est indissociable de son caractère… « C'est génétique! » dit-on en plaisantant à son sujet.
C'est en 1992 que Caroline crée le ArtWeb et partage son temps entre ses passions : l'étude du multimédia, de l'Internet et du marché de l'art. C'est à l'université de Concordia qu'elle poursuit une brève formation de la Banque de Terminologie du Québec.
Lors d’une recherche en terminologie sur divers sujets d’actualité, de célébrités, etc., alors que le public faisait des suggestions de recherche qui s’avéraient souvent vaines, Caroline s’est lancée en proposant la catégorie ART (il n’en existe toujours pas en 2013 sur le fameux You Tube… de catégorie Art). Et, oh! Miracle, une réponse enfin surgit alors que le formateur venait de donner à l'assemblée le résultat... le seul et unique résultat de la base de données dans la catégorie ART : Investir dans les oeuvres d'art de Louis Bruens. Enfin, du concret avec Internet, nous étions comblés. Notre partenariat a donc jeté son dévolu sur la communication, l'informatique et l’intégration des artistes dans lesdites communications mises au service des arts visuels. Ils lancent une compagnie, dans les Laurentides, la société est spécialisée en vente et service informatique, devient fournisseur Internet, propose et réalise des sites web spécialisés, etc. des catalogues de vente en ligne, Caroline réalise des plans d'affaires et monte des dossiers de projets spéciaux (Mercuriades, Qualité totale et des missions d’entreprises).
Caroline, ce phénomène, a appris l'art de vulgariser les textes les plus hermétiques. Elle adapte et simplifie les idées les plus compliquées, elle les décortique et les explique pour les rendre accessibles au plus grand nombre. Elle exècre les textes alambiqués, truffés de perles littéraires, des textes sans valeur, incompréhensibles, qui satisfont la cohue de snobinards, de faux intellectuels et de pseudos-historiens du monde de la peinture et Dieu sait qu'ils sont légion.
Caroline n'a de cesse d'élaborer inlassablement plans et projets qu'elle explique avec grand renfort de coups de crayon. Elle adore noircir ses idées et les porter dans le premier cahier, la première feuille, et tous les napperons de restaurant dont elle dispose. Elle est très visionnaire et surtout très prolifique. Elle n'a pas attendu de suivre tous ces savants cours pour concrétiser ses projets un après l'autre. Caroline est toujours présente, chef de file, exigeante, convaincante. C'est la sincérité qui la caractérise, elle est tellement convaincue qu'on lui résiste avec grande difficulté. C’est le propre d’une battante. Quand un projet est en route, elle ne perd pas son temps en vaines explications. Elle s'attaque de front à tous les problèmes et met immédiatement la main à la pâte. Son énergie créatrice se communique directement. Elle est très proche des membres de son équipe. Une véritable boule d'énergie.
1990 - Comme Charles Carson l'a si bien exprimé : « La réflexion, la vision et la planification se sont imbriquées et le bouillonnement des idées des deux acolytes, leur persévérance aussi, ont réussi à faire réapparaître le fil d'Ariane qui les guidait et à ramener la formidable équipe multidisciplinaire à bon port et à la replacer face à de nouveaux défis concernant la relance du marché de la peinture, et j'en suis le plus heureux. »
1997 − En comptabilité, elle apprend à effectuer le cycle complet des opérations de l'entreprise. Elle ne remet la barre qu'une fois en pleine réalisation de ses objectifs de contrôle : investissement, organisation, analyse, stratégie d'études de cas, préparation de mission d'entreprise, présentation de projets spéciaux, de dossiers d'excellence, passant aux statistiques, à l'éthique dans les affaires, en économie, en organisation des marchés, en marketing avancé, en gestion du personnel.
1999 − Après 10 ans d'immersion et d'études à titre de « compagnon » elle obtient son sceau notarié d'expert-conseil en art et son marché, équivalant à une maîtrise.
1999 − Elle pratique maintenant à titre d'expert-conseil indépendante en marché d'art, pouvant ainsi authentifier, certifier et évaluer des collections de tableaux tant privées que corporatives. Ses services sont proposés pour garantir des hypothèques, donner aux assureurs un barème de valeurs, aux notaires dans les successions et aux collectionneurs investisseurs qui désirent connaître la juste valeur marchande de leur collection. Sa compétence ne peut être mise en doute un seul instant. 30 ans de pratique dans le marché de l'art dont 15 ans à titre d’expert-conseil en marché de l’art font de Caroline Bruens une expert-conseil fiable et sérieuse.
Ses expériences diverses se matérialisent aussi sur Internet, ne s'étant jamais éloignée du monde de la technologie, elle saute d'un logiciel à l'autre avec énormément d'aisance. Tout lui semble facile. Elle n'a jamais écarté le côté pratique du travail, préférant souvent passer des heures à apprendre les fonctions d'administrateur, à comprendre un maximum de langage de programmation, elle a vraiment réussi à relever le défi et la « femme orchestre » qu'elle est devenue jongle avec la théorie et la pratique de façon déconcertante.
2003 − Après 16 ans de vie commune, Caroline et moi avons convolé en justes noces.
2005 − Le leadership de Caroline nous mène à la fondation de l'Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec dont le mandat consiste principalement à promouvoir et à diffuser les œuvres de nos artistes peintres sur le marché provincial, national et international... Au moins, ma relève est assurée.
2005 − Caroline Bruens et Louis Bruens fondent l'Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec. Caroline Bruens oriente ses connaissances vers un idéal, voilà la mission qu'elle s'est fixée. Elle regroupe son expérience d'éditrice de livres d'art, de fournisseur Internet, de créatrice de sites web et de dossiers spéciaux, de rédactrice, d'informaticienne chevronnée... Enfin! la convergence, l'Académie !
Elle travaille actuellement à l'élaboration d'un cours sur l'art et son marché, un cours de vulgarisation visant les amateurs d'art, les collectionneurs, les investisseurs, les galeristes et les artistes. Tour à tour, rédactrice, chroniqueuse, écrivaine ... coach, journaliste. Ne cherchez pas Caroline Bruens tous les jours dans les cocktails… c'est une travailleuse acharnée, la femme du « Bunker ». Je vous invite tous à travailler avec elle avec confiance, grâce à sa formation préalable et son implication dans le marché de l'art depuis 1988, Caroline accompagne les artistes à créer et réaliser leur plan de carrière.
Création du module investissement de l'Académie. Ce résultat est le fruit de recherches appliquées depuis 1960, par Louis Bruens. Le couple présente le LIVREL « Investir dans les oeuvres d'art » en 3e réédition avec la collaboration de Patrick Plouffe, notre bras droit, programmeur et webmestre depuis 18 ans. Aux commandes de l'Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec, vous retrouverez une Caroline, calme et heureuse, épanouie et serviable. La promotion des artistes demeure sa priorité.
2006 − Caroline Bruens crée, organise et présente le Gala Academia XXI, avec Louis Bruens. Ce gala se déroule au Musée des beaux-arts de Montréal.
2007-2008 − Le rayonnement de l'Académie s'élargit, alors que des artistes de France, d'Italie, de Belgique, des Amériques, d'Afrique, d'Espagne joignent les rangs. Les membres participent à des expositions en France, en Angleterre et en Belgique.
L’AIBAQ compte plus de 5000 amateurs d'art sur sa page FaceBook.
2008 – Le développement se poursuit avec la création de la division ArtAcademieTV, 45 entrevues vidéos et du matériel sur la peinture d'art sont produits, réalisés et diffusés.
2009 – Un nouveau Gala ACADEMIA XXI voit le jour et se déroule au Musée des beaux-arts de Montréal.
2010 – C’est l’année des médias sociaux, de la création et de l’administration des Caroline Bruens I-II et AIBAQ qui affichent plus de 15 000 amis et connaissances. L'Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec rayonne sur les médias publics. On augmente la présence de l'Aibaq sur tous les réseaux.
2011 – Le GALA ACADEMIA XXI - 2011 est tenu une fois encore et l'Exposition des Maîtres et des Artistes sélectionnés par ces derniers fait fureur. Le Concours international de peinture compte plus de 200 participants, les événements sont présentés à Laval, au théâtre Marcellin-Champagnat, TMC.
2011 – Le ArtAcademieTV s’enrichit d’entrevues d'artistes tournées au Symposium de Baie-Comeau.
2011 – Un projet réalisé de longue haleine avec Marilena Dracea-Chelsoi voit le jour. Plusieurs artistes se voient publiés dans le DICTIONAR DE FRANCOFONIE CANADIANA - Coordonator general : Corina Dimitriu-Paitescu - Corrodonatori : Maria Pavel, Christina Petras, Dana Nic. EDITURA UNIVERSITATII, ALEXANDRU IOAN CUZA IASI - 2011. Descrierea CIP a Bibliotecii Nationale a Romaniei. Bibliogr. ISBN 978-973-703-625-4.
Prefata : Henriette Walter : Profesor emerit de lingvistica la Université de Haute Bretagne, Presidinte al Societatii Internationale de Lingvistica Functionala, Membru in Consiliul Superior al Limbii Franceze et Cavaler al Legiunii de Onoare a Frantei.
AUTORII : Marilena DRACEA-CHELSOI (MDC) Universitea din Bucuresti.
ACADEMIA INTERNATIONALE DE ARTE FRUMOASE DIN QUEBEC - ACADÉMIE INTERNATIONALE DES BEAUX-ARTS DU QUÉBEC, fondée par BRUENS Caroline, BRUENS Louis (page 23 du dictionnaire)
BRUENS Caroline (page 150-151)
L'Academie Internationale des Beaux-Arts du Québec: Colectia Dictionarele Editurii Universitatii. Seria Lexikon.
Lucrare finantata de Consiliul Natioanl al Cercetarii in Invatamantul Superior (CNCSIS) ca reultat al Proiectulue IDEI - 418, 2007-2010 (director de proiect : Corina Dimitriu-Panaeitestu.
Referenti stiintifici :
RÉFÉRENCÉ PAR :
Patrice Brasseur - Université d'Avignon et des Payse de Vaucluse (Avignon, Franta)
Zélie Guével - Université Laval (Québec, Canada)
Pierre Morel - Université Babes-Bolyai (Ckuj-Napoca, Romania)
Antoine Soare - Université de Montréal [Québec, Canada)
Remus ZÄstrouiu - Institutul de Filologie Romana,, A. Philippide" (Iasi, Romana)
2012 – 6 vidéos des nouveaux maîtres et une trentaine de vidéos : Lyse Marsan rencontre, font désormais partie de notre vidéothèque. L’AIBAQ entretient une présence importante et une communication quotidienne dans les médias sociaux.
2013 – Le Concours international de peinture et sculpture précède l’Exposition des Maîtres et des oeuvres sélectionnées du 23 avril au 11 mai à la Galerie d'art de la Maison des arts Desjardins Drummondville.
2013 – Le Gala ACADEMIA XXI se tient le 11 mai, à la Maison des arts Desjardins Drummondville. Louis Bruens (1928-2013) est décédé dans la nuit du gala à Drummondville le 12 mai 2013.
2018 – Elle voue 8 mois de sa vie aux soins palliatifs à domicile de sa mère qui décède à 97 ans. Elle est elle-même victime de ACV à la fin 2018.
2019 – Elle entreprend la construction du carolinart.ca site sur lequel les artistes peuvent vendre leurs tableaux en direct. Elle fait l’évaluation d’œuvres d'art pour des musées et des collectionneurs privés.
2020-2021 Un site sur la formation à distance voit le jour. Diane Forest, maitre en beaux-arts en est la cofondatrice.
2020-22 L'Académie, l'expertise et l'évaluation de plusieurs centaines d'oeuvres prennent une place prépondérante dans son agenda.
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Caroline Bruens a collaboré à toutes les étapes d'écriture, de rédaction, de correction et d'édition des ouvrages suivants :
1988 Investir dans les oeuvres d'art #3 (Éd. La Palette) ISBN 2-9801060-1-1
1989 92 Transparences (Éd. La Palette) ISBN 2-9801060-2-X
1990 Bruno Coté (Éd. La Palette) ISBN 2-9801060-2-X
1990 Qui donc est Missakian (Éd. La Palette) 2-9801060-5-4
1990 200 Visions nouvelles de peintres du Québec (Éd. La Palette) 2-9801060-3-8
1991 106 Professionnels de la Peinture (Éd. La Palette) ISBN 2-9801060-5-4
1990 Faut êtr' fou pour peindre dehors (film)
1992 Peinture, culture et Réalités québécoises (Éd. La Palette) ISBN 2-9801060-7-0
1993 Les secrets du Marché de la peinture (Éd. PolyInter) ISBN 2- 983750-0-4
1994 ArtWeb sur Internet
1995 Humour, couleur et verbe (Éd. PolyInter) 7 ISBN 2-98-3750-1-2
1991 à 1997 Agenda d'art «Utilis» Groupe Sogidès de 1991 à 1997 annuellement (Éd. de l'Homme)
1995 à 2005 Agence de communication
2005 Investir dans les oeuvres d'art #4 (version électronique)
2022 Investir dans les oeuvres d'art 15 (version électronique)
1988-2022 Textes biographiques, magazines, etc.
Formation de l’experte-conseil
Formation en administration, fiscalité, marketing, éditique-ion, informatique (IBM-1969) planification financière, licenciée en fonds d’investissement (Centre national de Courtage financier) diplômée de l’Institut des fonds d’investissement du Canada (NFBC-1985).
Obtention de son sceau officiel et d’un certificat d'expert-conseil en marché d'art notarié, équivalence d’une maîtrise, après dix ans de formation (1988-1999).
Ouverture d’une société de communications (PolyInter Communications) Co-Fondatrice et PDG de l'Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec – Commissaire d’expositions, promotrice et réalisatrice d'événements.
Autrice, rédactrice et éditrice. Histoire de l'art – Projet 14arts.com – Plans d'affaires, projets spéciaux, missions d’entreprises, concours, sites Web (1992) multimédia, Internet et marché de l'art. En formation continue.
Compétences de l’évaluatrice
Depuis plus de 40 ans, Caroline BRUENS s’intéresse de façon professionnelle à l’art et son marché, à la carrière d’artistes peintres québécois et internationaux.
Experte-conseil en marché de l’art depuis plus de 30 ans, évaluatrice d’œuvres d’art, formatrice en histoire de l’art et sur le sujet d’Investir dans les œuvres d’art, pour une clientèle privée, son expérience en marché de l’art québécois demeure sa priorité professionnelle. De l’organisation de galas en arts visuels et d’expositions, à sa fonction à la présidence de l’Académie Internationale des beaux-arts du Québec, ainsi qu’à son rôle de formatrice en art et son marché, toutes ces activités professionnelles lui ont permis de révéler ses multiples talents et qualités : authenticité, sens de l’éthique, perfectionnisme et professionnalisme.
Évaluatrice et créatrice d’un indice de valeurs pour les œuvres d’art et d’un système de jurys informatisé pour l’attribution des Prix et des Bourses d’art. CLB s’est toujours intéressée aux enchères, aux galeristes, aux artistes et aux collectionneurs ; son expérience et ses connaissances en termes d’investissement, de valeurs artistique ou monétaire sur le marché actuel sont inestimables et lui ont été précieuses pour élaborer ce rapport d’évaluation.
Caroline Bruens,
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